Gymnase [BOKUAKA]

Ce recueil s'est transformé en Bokuaka j'suis désolée T-T

Alors cet os a été écrite pour l'anniv de kionoscarlet (carte en média) et j'ai totalement oublié que je devais poster la suite ici. Donc voilà!

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L'équipe de Fukurōdani venait de terminer leur entrainement. Ils rangèrent tout, à part le filet. Ils laissèrent les ballons dans le chariot pour les laisser à Bokuto et Akaashi. Lorsque tous se dirigeaient vers les vestiaires, Bokuto se tourna vers Akaashi.

- Je vais passer un coup de tel à ma mère. Tu peux en profiter pour te reposer.

- D'accord.

Akaashi s'assit contre le mur et en calant sa tête, il ferma ses yeux Konoha fut l'un des premiers à ressortir des vestiaires, suivi par Komi et Sarukui.

- Eh les gars, Akaashi s'est endormi? Demanda komi.

- Akaashi? Tenta d'appeler Konoha.

- Il est k.0. Dit Sarukui.

Bokuto sorti des vestiaires et regarda ses amis attroupés devant Akaashi.

- Qu'est-ce que vous lui voulez?

- Oi, calme Bo. Il est assoupi. Dit komi.

- Il est complètement dans les vapes. Répondit Konoha.

- Bon, on te laisse gérer, on va rater le train sinon. Déclara Sarukui.

- Okay Rentrez bien les gars.

- Ouaip. Ne vous surmenez pas trop vous deux.

Bokuto recouvrit le passeur avec sa propre veste. Petit à petit, les autres commoncèrent à partir. Une fois seuls, l'ace ne savait pas que faire. S'il fallait laisser dormir le plus jeune pour éviter le risque qu'il s'assoupisse dans le train ou s'il fallait le réveiller pour lui dire de rentrer afin qu'il puisse se reposer. Il opta finalement pour le laisser se reposer un peu. Il alla chercher son téléphone pour s'occuper en attendant que le noiraud se réveille. Après un moment, il vit du coin de l'oeil la tête du passeur basculer dangereusement en avant. Un mouvement brusque de sa propre tête fit réveiller Akaashi. Mais au lieu de se réveiller, il se décala légèrement pour poser sa tête sur les genoux du numéro 4 de Fukurōdani. Se demandant ce qu'il fallait faire, il resta figé un bon bout de temps, le téléphone en main. Il ne fit rien et continua son jeu.

Lorsqu'il regarda de nouveau l'heure, il était près de 19 heures et quart. C'était une demi heure avant leur fin d'entrainement habituel. Il n'avait pas pensé que l'heure était déjà aussi avancée. Il reposa donc son téléphone à ses côtés avant de porter de nouveau son attention sur le plus jeune. Qui avait mouillé son short de bave.

- Akaashi? Hey kaash? Eh oh, la Terre appelle Akaashi Keiji.

Bokuto se stoppa net. Il venait d'appeler le noiraud par son prénom. Cela lui fit un effet bizarre. Néanmoins, il se reprit et tenta de le rappeler, en vain.

- Akaashi, faut se lever. Bonjour bonjour. Eh Kaashi.

Bokuto se rapprocha un peu du visage du plus jeune et posa son index sur le nez de ce dernier.

- Akaashi, le petit déjeuner est prêt.

- Mmhgrfph... encore quelques... mgrph....

- Hein? Allez on se réveille.

- Donne-moi encore cinq minutes p'pa....

- ... Huh? Hé, j'suis pas ton père. Allez debout.

- Laisse-moi dormir papa.....

- Akaashi, c'est moi. Bokuto. Bokuto kōtarō. Akaashi se réveilla avec un sursaut.

- Comment ça Bokuto est là ?! Il faut pas qu'il me voit on pyj... ama...?! B-Bokuto-san...?

- C'est quoi cette histoire où je ne dois pas te voir en pyjama?

Akaashi le regarda desorienté. Il sentit une sensation de froid sur le coin de sa bouche et son menton. Il prit son t-shirt par le bas et s'essuya rapidement.

Malgré lui, Bokuto rigola.

- C'est un peu tard pour la bave. Regarde mon short. Dit Bokuto avec un regard malicieux.

Le regard d'Akaashi se dirigea vers le short de Bokuto. Voyant la tête rouge de gêne d'Akaashi, le champion de Fukurodani éclata de rire.

- Je suis tellement désolé Bokuto-san! Je-P... pardon....

- Eh, c'est rien. C'est pas la fin du monde quand même.

- Il est quelle heure?

- Il est 19 heures 25. Et tu ne m'as toujours pas répondu. C'est quoi cette histoire où je ne dois pas te voir en pyjama alors que je t'ai littéralement vu en pyj pendant les camps d'entraînement.

- Ce... ce n'est rien!

- Allez viens on va se changer.

Ils rentrèrent chez le noiraud dans un premier temps afin de l'accompagner. Lorsqu'ils furent chez le plus jeune, il était 20 heures 30 car ils avaient pris leur temps pour se changer et rentrer.

- Bonsoir Bokuto-kun.

- Bonsoir Akaashi-san.

- Je t'ai dit que tu pouvais m'appeler Akihiro.

- Vous aussi vous pouvez m'appeler Kōtarō.

- D'accord d'accord. Allez rentrez tous les deux. Kōtarō je te propose de rester pour ce soir, il est tard.

- Hum je n'ai pas mes affaires...

- Ne t'inquiète pas, je te prêterai un pyjama, parce que tu n'entreras jamais dans ceux de Keiji, et je te laverai ton uniforme pour demain. Allez vous laver, je vais appeler tes parents.

Les deux se rendirent dans la chambre du noiraud. D'un commun accord, Akaashi alla se laver en premier après avoir pris un pyjama au hasard. Alors que le noiraud était dans la salle de bains, la mère de ce dernier entra dans la chambre.

- Bonsoir Kōtarō, tiens, un pyjama. C'est un tout neuf qui est un peu petit pour son père donc tu peux le garder. Tu pourras le laisser ici comme ça à l'avenir ce sera plus facile pour toi.

- D'accord, merci beaucoup Ayame-san.

- Je t'en prie. Et c'est ok pour tes parents.

- Parfait.

Akaashi sortit de la salle de bains et Bokuto alla se laver à son tour. Une fois sorti, il vit le noiraud plongé dans ses devoirs. Il le rejoignit après avoir sorti ses affaires.

- Hey Akaashi, pourtant tu es en pyjama.

Akaashi rougit et évita de regarder le plus grand.

- S'il te plaît, oublie ça Bokuto-san.

- Mais je ne vois pas pourquoi je ne devrai pas te voir parce que tu es craquant dans un pyj imprimé hiboux.

Akaashi rougit jusqu'à la racine des cheveux et arrêta d'écrire.

- Hum Akaashi...?

- Mmh?

- Depuis quand?

- Quoi? Fit le noiraud en relevant la tête vers le plus grand.

- Depuis quand... est-ce que tu as... des sentiments pour moi?

- Q-quoi? Comment tu...?

- Oh allez, la façon dont tu me regardes, la façon dont tu rougis quand on est à une distance de 5 cm... et... surtout la façon dont tu me dévores des yeux quand on se change...

- T-tu... tu as... r- re... remarqué?

- Pffthaha ne beug pas autant beauté.

Akaashi gémit de gêne et se cacha le visage avec ses mains.

- Hum... est-ce que je peux aussi te demander pourquoi? Demanda Bokuto.

- Je... j'avais reçu des recommandations pour le lycée Suzumeoka et pour Fukurōdani. J'hésitais entre les deux et... je savais que Fukurōdani avait un niveau très élevé en Volley... j'avais peur de ne pas réussir à suivre... mon ami a réussi à me convaincre d'aller voir le match de Fukurōdani et... quand je suis entré dans le gymnase... je t'ai vu... tu avais une posture parfaite et encourageante... tu brillais comme une étoile... et à ce moment-là j'ai su que j'irai à Fukurōdani.

- Donc je t'ai donné envie de venir à Fukurōdani?

- Oui...

- C'est trop mignon bon sang.

- C'est pas mignon.

- Si. Du coup... est-ce que tu accepterai de sortir avec moi?

- P-pardon?!

- Quoi? Tu sais... moi aussi j'ai des sentiments pour toi. Même si je faisais le gamin exprès... tu réussissais quand même à me remonter le moral à chaque fois et... tu me supportes plus que quiconque. J'ai commencé à développer des sentiments pour toi.

- Bon c'est parfait alors, on peut organiser le mariage de rêve de Keiji. Dit le père d'Akaashi en entrant dans la chambre du noiraud.

Akaashi et Bokuto rougirent tous les deux mais Bokuto fut celui qui se reprit le plus vite.

- Quel mariage?

- Rien. Dit Akaashi les yeux rivés vers ses pieds.

- Eh bien figure-toi qu'il hésitait entre des roses et des lys pour votre mariage dans son sommeil quand j'étais venu le réveiller une fois. Allez trêve de bavardages, allons manger avant que le repas ne refroidisse. Vous pourrez organiser votre mariage après. Faites pas l'amour ce soir non plus, il ne faudrait pas que votre relation soit basée sur ça.

- PAPA!

- Bah quoi? C'est toi qui l'imaginais dans tes rêves hein pas moi fiston.

Bokuto éclata de rire, puis planta un baiser sur la tempe d'Akaashi et ils descendirent prendre le dîner.

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