Chapitre 2 : Tomber

Mon réveil sonne. Je me lève doucement.
Aujourd'hui c'est le dernier jour de cour je suis tellement contente demain je n'aurais pas à supporter tout les prétentieux qui m'insulte au lycée, ici à New-York tout le monde se croit mieu que tout le monde ce qui est totalement faux bien sûr.
Mais ici c'est comme sa, au lycée il y a trois classe de personne : les populaires, les geek et les invisibles ceux qui n'ont rien demander mais que les  populaires harcèle pour la forme. C'est ce que je suis invisible sauf pour la bande à Joanna, la fille la plus populaire du lycée depuis le collège elle a décider que je saurais son souffre douleur.


Elle m'insulte me donne tout ses devoirs, un jour j'ai refuser à la sortie elle m'attendait avec ses amis et il m'ont frapper tellement fort et longtemps que j'ai finie deux semaines à l'hôpital. Alors je fais se qu'elle me demande car Joanna fait partie des seules personnes qui on découverte, malgré mes effort pour le cacher, que j'était brillante dans chaque matière. Les gens pensent que c'est une chances moi je préférerais largement être bête mais la vie m'a voulu ainsi.


Je pourrais faire exprès d'avoir de mauvaise note mais mes parents adoptifs sont tout les deux comptables pour eu je doit être la première de ma classe chaque années sinon c'est privé de sorti toute l'année d'après. ( comme si je sortait)
Ils refuse que je m'amuse pour eux rien ne vaut le travaille.
Ils ne veulent pas que j'ai d'amis c'est trop de distraction.
Et ils limite le temps de discutions à trois phrases maximum pour eux parler ne sert à rien.


C'est vrais qu'il sont dure mais ils veulent le meilleur pour moi ils m'ont adopter à la mort de mes parents et ils se sont toujours bien occuper de moi je n'ai jamais manquer de quoi que ce soit.


Mais mes parents me manque je me souviens comment c'était avec eux je me sentait tellement bien j'etait heureuse.
Mais le bonheur a vite tourné ils sont mort quand j'avais six ans dans un cambriolage qui a mal tourner.
Mais ma triste vie a continuer.


Je m'habilla rapidement d'un jean usé et d'un haut blanc, je brosser mes cheveux blond et rajouter un trait d'eye-liner au dessus de mes yeux gris.
Puis je descendis manger en compagnie de mes parents adoptifs.


" - Bonjour.


- Bonjour Leïla, tu as bien dormi?


- Oui très bien et vous Carol


- Sa peut aller maintenant mange.


- Bien. "


Je mangea rapidement pour ne pas m'attarder je préférais être dehors le plus de temps que je pouvais.
Je sorti dans l'air frais de la mâtiné et me mit à marcher jusqu'au lycée il était à trente minutes à pied et pour mes parents marcher une demi heure par jour ne pouvait pas me tuer.


Donc je marchais doucement car j'avais de l'avance, je me demander si mon avenir serait celui prévu par mes parent, devenir une brillante neurochirurgienne réputer dans le monde, mais pourquoi serai il différent mon avenir était tout tracer. Ma vie entière était décider.
Et malgré tout mes effort ma vie se résumer à sa une suite d'événement calculer au millième prés.
Parfois je pense à ce que serait devenu ma vie si mes parent était encore en vie, seraient ils fier de moi ou desçu que leur fille ne puisse avoir le courage de bâtir son propre mur au lieu de laisser les autres le faire à sa place.


Malheureusement la vu au loin du lycée coupa court à mes pensers. De la ou jetait je pouvais voir Joanna me regarder comme si j'étais un petit bébé chien et qu'elle attendait que je lui ramène un bâton.


J'entre difficilement dans le lycée avant qu'ils ne ferme les portes.
J'avance ver Joanna et ses amis j'ouvre mon sac et en sort tout ses devoirs , je les lui tant. Elle les lit avec attention comme si elle comprenait se que j'avais écrit. Elle fronça les sourcils et me regarda attentivement. Elle finit par mettre ses affaire dans son sac et parti bientôt suivi par sa bande de petit toutou.


Je me retrouva seul, enfin sa se n'est pas exceptionnel. Je marcha doucement jusqu'à mon banc et m'assis lourdement dessus.
Je ne me releva que quand la cloche sonna le début des cours, je commencer par Histoire.
Pendant deux heures j'écoutais avec attention la prof nous parler de la seconde guerre mondiale et de ses impacts sur la terre.
Quand fut sonner la fin du cour tout le monde sortit de la salle moi compris je m'assis contre le tronc du sole pleureur  et je sorti un livre.
Peu de temps après je vis Joanna avancer vers moi se qui était assez étrange vu que elle ne me donner ses devoirs le soir. La seul raison qui la pousserais à venir me voir ce serais si j'avais fait quelque chose qu'elle n'a pas aimer et qu'elle allait demander à ses deux labradors Luc et Gaëtan de me frapper. Elle s'assit à côté de moi et dit :


"- Tu as fais faux a l'exercice quatre.


- Oui sûrement.


- Tu sais pourtant que je n'aime pas que tu fasse d'erreurs, il vas falloir te punir"


C'est à se moment que le premier coup partie puis les autres s'enchainaient avec plus de force. Je voulais crier, pleurer mais aucun son ne sortait de ma bouche.


Quand au bout d'un moment Joanna fut satisfaite elle ordonna à ses acolytes d'arrêter et ils partirent.
Je m'assoie avec difficulté d'après les maigres connaissances que j'avais en médecine je pus en déduire que j'avais une côte casser si se n'est plus et plusieurs ematomes  au ventre et au jambes, Ils s'arranger toujours pour viser des endroits que je pouvais facilement dissimuler.
Mais il ne me restait plus qu'un ans à tenir et après j'irais à l'université.


Je me releva doucement et reparti en cours.
Une fois que mes cours de la journée: Histoire, maths, anglais, français, physique et art furent finis je pris le chemin de la maison.
Comme chaque fois sur le chemin, je me mis à pleurer doucement pas de tristesse comme les autres fois mais de soulagement, c'était les vacances j'allais pouvoir oublier l'enfer de mon existence pendant deux mois.


Je marchais déjà vingt minutes quand un homme qui devais avoir la quarantaine et qui portait un grand manteau me rentra dedans puis parti sans un mots. Se qui en plus de m'énerver me fit grincer des dents face à la douleur qui se propagea dans mon abdomen.
Quand je me suis retourné pour lui demander de s'excuser il avait disparu à la place se trouver une bague orné d'une plume blanche, je la ramassa et la mis à mon doit.


Puis je suis rentrer chez moi le plus vite possible sachant qu'avec une cote casser je n'allait pas très vite.


Une fois que je fus dans ma chambre je fis en sorte de me soigner comme je pouvais avec ma trousse de secours.
Quand jus fini je remarqua quelque chose qui m'avais échappé à l'intérieur de ma poche se trouver un parchemin
Je l'ouvrit et commença à le lire .


Leïla
Je suis navrés d'avoir dû vous foncer dedans et de vous avoir fait mal. Mais je devais vous remettre cette lettre.


Dans une semaine je viendrais vous chercher à vingt heure précise pour une duré indéterminée. Je vous pris de faire votre valise et de conserver la bague que je vous est confier
Et surtout ne parler de sa à personne.


Votre nouveau mentor Gabrielle des ange


Je me demande qui a pu m'écrire sa c'est sûrement une blague, pourtant au fond de moi j'espère que non.
Cette lettre m'a proposer la seule chose que je rêve depuis onze ans. Partir, partir loin.
Alors je suis peut être inconsciente mais je ferais ma valise et dans une semaine ma nouvelle vie sera sur le point de commencer.


Mais je ne m'étais pas rendu compte à quelle point ma vie était facile.

Comment