Texte 19; Le feu ne régne plus dans mes yeux

je regarde autour de moi, je vois vos passions. Celle qui brulent vos yeux et votre coeur. Je ne les voient que trop bien, vos journées sont rythmées par celles-ci. Votre vie et vos choix sont régis par ces passions. Elles vous brisent souvent, vous leur rejeter la faute dessus. L'air pue vos passion, cela devient révulçant. Celles-ci attaignent plus que d'autres, et parfois à défaut. Elles apportent plus de peines et le chaos dans vos vies que de la joie et de la paix. Celement, certains arrivent à trouver leur plus proche définition du bonheur. Cependant ce n'est qu'une poignet de personnes, elle sont omnipresentes, vous en rever, vous vous y accrocher comme à votre vie. Cela est-ci important de souffir autant? Elles regisent notre monde, à tort et à travers. 

Seulement, moi, je ne perçois plus ces passions. Quelles soient sentimentales ou émotionelles, je ne les ai plus. Et mes yeux, j'ai beaux les regarder, si profondement que je connais chaques vaisseaux de ces pupilles marrons, ce n'est pas pour autant que je vois mes passions. Ô! Certe j'ai des passions, oui. Seulement les miennes sont matérielles. Mes yeux vont plus s'enflamer devant un objet que devant une personne. C'est comme si au fond, j'étais une coquille vide. Ou bien, je chache mes passions aux autres depuis bien trop longtemps que je me les cachent à moi aussi? Certaiment.

Mais ne serais-ce pas ça la plus proche définiton du bonheur? Ne serais-je donc pas au plus proche du bonheur selon la pensée de Spinoza? Controler ses passions, les métriser pour laisser place à la raison. Est-ce ça la clé? Cela effraie, je l'avoue. Cela fait peur de voir la passion qui brule pour vous dans les yeux d'un autre, et d'avoir beau essayer, mais, rien ne se déclanche chez vous. Cela fait peur de ne pas savoir donner la définition de la joie, de ne pas reussir à poser des mots sur celle-ci. Cependant, la définition de mon bonheur dans ma vie futur est aujourd'hui le but de chaque jour que je vie à présent. Cette définition est solitaire et envahis de passions matérielles avec une ou deux passion sentiementales qui touchent ma famille proche et mes amis que je peux compter même si je venez à me faire rétirer les trois quarts de mes doigts.

Si mes passions ne brulent pas, reste-t-il au moins des braises? Reste-t-il encore des braises de ce feu encore autrefois un incendie qui parcourait chaque parcelles de mon corps? Parfois il me manque, j'aimerais ressentir la puissance pleine de mon amour inconditionelle que j'ai pour ma mère et mon père; j'aimerais leur montré cette passion sentimentale. Cependant, je suis bloqué, quelque chose m'en empeche. Peut- etre que cette coquille que je croyais vide est enfaite la barrière qui empèche l'oxyxène d'alimenter mon feu. Serais-ce pour me protéger? Puis, serait-ce judicieux de libéré ce feu ou dois-je encore le controler completment? Est ce que je serais capable de le controler un minima pour mon bien? J'essaie de garder espoir...

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